La Treizième Lune
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La Treizième Lune

La Treizième Lune est une sororité poursuivant les desseins de Beukirsch, elle oeuvre à asservir le monde
 
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 Beukirsch

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Machrä
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Machrä


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Date d'inscription : 21/06/2006

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MessageSujet: Beukirsch   Beukirsch EmptyVen 23 Nov - 11:57

Voici une version vulgarisée de la mythologie Beukirschienne à destination des païens.


I/LA CREATION

Au commencement, point de verbe, juste Beukirsch. Beukirsch soucieux de créer et d’infuser la vie fit naitre l’eau, le feu, la terre et l’air qu’il anima et dota de pouvoirs naturels et de potentiels magiques. Puis Beukirsch mit au monde ses enfants, divinités inférieures mais néanmoins puissantes et marquées des pires défauts dont Beukirsch voulaient se détacher.
Les divinités inférieures conduites par Beukirsch façonnèrent et peuplèrent les mondes originels. Leur caractère propre déteignant sur leur création, chacune à sa manière développa un monde qu’il lui ressemblait. Ces dieux inférieurs enfantèrent à leur tour : titans, démons et autres créatures aux comportements aussi variés que leurs ascendants mais toutes empruntes néanmoins, ne serait-ce qu’à faible proportion de l’essence divine de Beukirsch.

II/LUTTE DE POUVOIR

Vint le temps des traitrises, des coups bas et des désirs enflammés des dieux inférieurs pour le pouvoir. Vint le temps des guerres, qui nous importe peu dans cette présente missive.
Par delà les millénaires et moult rebondissements Beukirsch parvint à triompher de l’alliance perfide de ses enfants, qu’il détruisit à tout jamais.
Blessé mortellement, Beukirsch n’eut point le temps de se remettre car les enfants de ses enfants, qui jusque là n’auraient jamais osé lever la main sur lui, ni même pensé à la moindre autonomie, virent dans sa faiblesse passagère une occasion qui ne se représenterait plus : ils virent l’occasion d’anéantir Beukirsch et de prendre leur destin en main.
Mais on n’anéantit pas le Dieu des dieux ainsi et malgré leurs efforts combinés par delà les clivages de pensées, ils ne parvinrent pas à triompher du Dieu et se résolurent donc à l’enfermer à la manière des elfes enfermant Illidan bien des années plus tard.

III/LA PRISON

De tous les matériaux, la terre et en particulier l’argile, est de ceux les plus intègres, les moins corruptibles. Beukirsch fut donc emmuré dans une prison de terre et de pierre scellée par les plus puissants sortilèges connus jusqu’à nos jours et projeté dans les profondeurs de l’univers afin d’être oublié pour l’éternité.

IV/AZEROTH

Le temps passant, les titans arpentant l’univers, passant d’un monde à un autre pour le façonner, trop occupés par leurs propres travaux, finirent par oublier leur prudence et jusqu’à l’existence même de leur ancêtre. Une troupe de ces imbéciles tomba un jour sur la boule d’énergie et de terre faisant office de prison à Beukirsch et se mirent dans l’idée dans faire un nouveau monde : Azeroth.
Enfermé depuis des millénaires, incapable du moindre mouvement dans sa prison, Beukirsch vit dans cette intrusion l’espoir qu’il attendait depuis tant de siècles. Il se fit tout petit, faisant taire le moindre aura de sa divinité, et attendit patiemment que les titans aient fini leur œuvre.

V/PLAN DE RESSURECTION

La vérité, c’est que la bêtise des elfes permit à Beukirsch d’élaborer son plan de résurrection . Par le biais de la brèche créée par le Maëlstrom, Beukirsch parvenait à faire passer des bribes d’énergie magique qu’il concentrait afin de choisir les mortels capables d’accomplir ses plans.
Il releva générations après générations les mortels qu’il jugeait digne de le servir. Il leur rendait la vie, les rendant redevables à jamais et les dotait de suffisamment de pouvoir pour exercer la mission qu’il leur confiait.
Ses multiples essais lui permirent d’affuter ses choix au cours des années et d’élaborer la doctrine de son culte. Ainsi il évinça les mâles de ses sélections et nourrit une haine enflammée contre ces derniers pour avoir trop souvent été bafoué et trahi par des hommes trop assoiffés de pouvoir et incapable de tout contrôle sur eux-mêmes.
Il nomma les générations, lunes. Chacune fut l’occasion de tester une nouvelle forme d’organisation sociale, politique et militaire pour son culte et chacune apporta sa pierre à l’édifice. Quand une génération échouait ou était décimé, Beukirsch frappait de sa fureur les traitres et les impies et retournait dans sa transe léthargique afin d’en relever une nouvelle.

VI/ LA XIIIe Lune

Beukirsch décida un jour de relever des femmes aigries ou torturées par la vie, leur offrant l’occasion de jouir des plaisirs simples et sanglants de la violence et de la guerre en échange d’une éternité de service à son côté. Il espérait par ce biais relever la génération la plus fidèle et la plus efficace de toutes celles qu’il eut créé et mettre enfin en œuvre son plan final de résurrection et de destruction. La mission était simple : « trouvez la bèche et remplissez la encore et encore d’âme de toutes sortes, asservissez le monde et dévastez le, nourrissez moi du sang des païens et je renaitrai pour vous offrir la plus belle des récompenses>>.
Ainsi naquit la XIIIe Lune. Beukirsch releva d’abord Mortiflette et en fit sa grande prêtresse pour qu’elle puisse prêcher à ses sœurs la parole et l’histoire de Beukirsch. Puis il releva les sœurs Azania, Makara, Trebecca, et Machrä. Puis les sœurs Marnaya, Karminia et Syphilia. Puis encore plus tard les sœurs Croûtza et Emnia.


VIII/ DE L’ESCLAVAGE


Beukirsch confia à ses prophétesses sa mission divine : trouver le puit et mener à bien la récolte d’âmes. Se posa alors le problême de l’efficacité. Les sœurs, après délibérations, décidèrent d’asservir une partie des forces en présence afin de mener leur quête plus rapidement à son terme. Les Sœurs adoptèrent alors une forme d’organisation sectaire et despotique, régime le plus proche des enseignements de Beukirsch et qui fit ses preuves durant de longues années. D’autre part le culte était ouvert aux combattantes expérimentées désireuses de servir la juste cause de Beukirsch : les Adoratrices.

Le texte s’arrête ici mais il semble manquer quelques pages…



§Dame Machrä§

Beukirsch expliqué aux païens
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