Lenrir Elion.Acte I

1. Berceuse.
Tout ce déclancha comme une triste mélodie, une pseudo tragédie digne des grands dramaturges de Strormwind pour Cereniel.
Cette première partie narre les vingt premières années de notre dame qui furent douce et innocente.
Cereniel naquit à Stratholme bien avant que celle-ci soit ravagée par le fléau, son père était un demi le duc Ellis Lenrir Elion et sa mère une qel’dorei qui se faisait appelée Meredianne.
Cereniel grandit dans la joie et la richesse qu’une bonne famille noble pouvait lui apporter, elle adorait traîner dans les rues et jouer avec les musiciens de chemin, elle y apprit beaucoup de chant et en vertu de son jeune âge ne comprenait pas encore la totalité de ceux la.
Cereniel apprit facilement à lire et à écrire et commença très tot à l'initiation de la magie arcanique, l'univers étant constitué de vieux humains en robe, elle fut vite découragée.
Vers sa septième année elfique, la petite se voit enfermée sans trop le comprendre par son père et son parrain le baron Rupert Allas.
Son père, loin d’être un tyran lui expliqua de manière sec et ferme qu’il devait la tué lors de sa septième année 'notre sang est impur à toi et moi, nous devons nous tuer pour préserver la flamme, l'Elion. précha t-il '. Cereniel ria un peu puis demanda si tout cela était sérieux, son parrain s’approcha et lui chuchota 'une si jolie jeune fille, je suis quand même heureux que personne ne profitera de ton corps qui commence déjà a égaler celui de sa mère', Le regard triste de son père ne trompait pas se qu’il allait se passer, Ellis prit son épée et transperça le cœur de la jeune Cereniel qui poussa un cri sourd et comme derniere action Cereniel inscrit un sourire sur son doux visage. Rupert, regardant son ami tend son épée devant lui dit « Toi aussi, même si je pense que tout ceci est absurde. », Ellis refusa de se donner la mort et s’enfuit pleurant toute les larmes.
Peu de temps après le baron tenta de soigner sa tendre filleule mais en vain…son sang se rependait partout dans la pièce…

2. Illumination
C’est à ce moment là qu’ « il » est apparu, au début il n’était qu’une sphère de lumineuse et petit à petit cette sphère commença à prendre les courbures de Cereniel.
_Dis moi…tu… n’as pas envie de mourir, n’est-ce pas ? Qu’aurais-tu aimé faire plus tard ?
_Je…J’aurais voulu lire pleiiiin de livres ! Pour tout savoir et être la meilleure ! Et surtout…me venger !
_ Accepterais-tu de conclure un marché avec moi ? J’ai besoin de ton corps…J’harmoniserai mon âme avec la tienne afin d’atteindre ton objectif et j’utileserai ton corps en temps que ‘ Cereniel Lenrir Elion’…Je réaliserai tout les désirs que tu n’as pu accomplir…
_ Alors … quand tu n’auras plus besoin de moi, vais-je mourir encore une fois !? Et si je ne veux pas mourir encore, pour moi, devient plus forte, devient la meilleure mais fait moi le plaisir de tuer mon père, tue le et fait le souffrir comme il a fait pour moi. N’épargne personne qui osera te mettre sur ton chemin, ne souille pas mon corps fait en sorte qu’il reste pur. Harmonisons nos âmes à présent et vengeons nous !

Cereniel ne savait pas encore avec qui ou quoi elle s'associait et elle s'en moquait un peu, cette âme ne semblait pas lui vouloir de mal bien au contraire...

3. Vengeance

Cereniel ou du moins l’esprit occupant son corps regagna peut à peu celui-ci et eu comme première vision le visage du baron Rupert en larme, elle dit d’une voix douce :
_Parrain…je suis revenue, pour…me venger !
Rupert se moqua du mot venger et sauta de joie sur sa filleule. L’amour que son parrain avait sur elle était si fort que le baron Allas drogua les repas de Cereniel pour l’abrutir et faire en sorte qu’elle reste pure et innocente. Cette mascarade dura quinze année jusqu’à la mort prématurée du baron qui légua tout de même sa fortune et son titre à Cereniel, qu'on avait fait passé pour une servante pour passer incognito.
La nouvelle baronne incapable de tenir son poste fut envoyée dans un hôpital puis dans une maison de campagne ou on l’enferma. Un beau jour des garçons de fermes qui avait pour obligation de nourrir la jeune dame eue envie de se prendre pour passion et d’abuser de celle-ci mais prirent la fuite grâce à l’arriver du nouveau médecin ici pour consulter Cereniel.

_ * tombe des escaliers puis se frotte la tête * Oulà ! Il fait pas clair ici bas, haha, et pourquoi tu es au sous-sol ma petite
_ * le doigt devant la bouche, demandant d’un air timide * Vous…vous êtes médecin ?
_ Absolument * toujours souriant *
_Vous mentez…
_Je le vois à cause de vos looongs cheveux couleur de neige…Vous êtes le diable n’est-ce pas ? * maîtrisant mal ses pouvoirs arcaniques mais fait quand même apparaître une image *Vous êtes celui qui, au nom de sa beauté et de sa force, fomenta une révolte contre les cieux, l’ange déchu ! * regarde derrière lui * Et puis il y a…ce petit démon qui vous suit, il doit vous accompagner partout dans les sept enfers ! * se réjouit * ah…je vous ai tant attendue, tant attendue…et vous êtes venu !
_* lui prend sa main et lui répond tendrement * Si je suis le diable…Dis-moi quel est le vœu que tu souhaites voir réalisé ?
Un long silence puis Cereniel lui montre sa tête, le médecin comprit tout de suite que ce retard mental était du à une drogue et demanda à son assistant de posé une fiole par terre puis ils partirent tout deux en claquant des doigts le sourire large en laissant deux plumes, une noire et l’autre d’une blancheur froide, Cereniel les ramassa et pris la potion.
Quelque jour plus tard, les garçons de ferme voulant retenter leurs chances, arrivaient devant la chambre de Cereniel et n’en sont plus jamais ressortit, la baronne Lenrir Elion les a assassinée, le plaisir de tué commença doucement en elle. Le medecin ayant gentiment fait tomber un papier sur lequel il était écrit le nom de sa résidence fut prit par Cereniel qui n'eu qu'une envie : voir qui était ce personnage qui l'avait soudainement retirer de sa condition handicapante.

Cereniel prit ces maigres affaires et se mit en route, l’art du déguisement n’avait plus beaucoup de secret pour elle et l’aspect magique augmenta considérablement depuis le passage de ce médecin. Cereniel n’était certainement pas née pour devenir une mage mais la puissance arcanique en elle a fait d’elle ce qu’elle appela vulgairement ‘ techno-mage ‘, les éléments basique comme le feu et la glace ne lui réussissaient pas, elle puisa dans une source intarissable, infiniment magique et cela sans s’en rendre compte : le néant.
Cereniel sortit de sa maison de campagne ou elle y rencontra une troupe, ces étrangers au teint mates venant des mers du sud, ils étaient sans famille, sans peuple, sans attache, parcourant le monde pour survivre, évitant les grandes villes, ils chantent et dansent, composent pour leurs simple bonheur. Cette troupe a voyagée avec Cereniel pendant un an, celle-ci recherchant toujours la demeure de cet étrange médecin, Cereniel apprit de ces étrangers plusieurs dialectes ainsi que des méthodes pour se débrouiller seule, elle y apprit aussi la mine et l’art de composer des chansons. Leurs chemins se séparent non loin de Lordaeron, Cereniel était certaine de retrouver, non la demeure mais le médecin lui-même dans cette ville.
D’un pas déterminé, elle s’avança devant la grande ville humaine, elle se dit qu’elle ne le trouvera pas le premier jour alors autant prendre une chambre et de fondre dans la masse, après tout il n’était pas si difficile pour elle de se faire passer pour une humaine. Elle s’installa dans une auberge et commença à écrire des affiches dans laquelle elle disait rechercher un elfe probablement âgé, aux longs cheveux blancs et très sûrement suivit d’un autre elfe aux cheveux de feu. Pour ne pas avoir de trop gros souci financier Cereniel décida de s’inscrire au P.M.L. – le parti des mineurs de Lordaeron, qui plus tard est devenu est la confrérie des maçons dont la très bonne parties sont devenus des défias - ou elle fit germer une idée d’équilibre entre les commerçants et les mineurs…. [ à suivre ]